Ce n’est pas la nuit noire du sommeil ou de l’insomnie. C’est la nuit des enfants perdus, la nuit de l’inconnu qui nous cerne et nous perd. Nous ne voyons pas les contours et nos aiguilles s’affolent de tant de flou, de brumes et d’incertitudes. Nous voulons être sûr.e.s mais les temps ne nous offrent …