Les gens sont fous, les gens c’est nous.

[BILLET D’HUMEUR ET D’AMOUR]
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DRÔLE DE PRINTEMPS. Entre incivilités et solidarités, çà fait un équilibre, tout comme l’équinoxe où le jour est égal à la nuit. Ce qui est bien c’est que l’on va gagner de plus en plus de lumière et j’y vois plutôt un signe positif. C’est comme une sortie de tunnel dont on ne voit qu’un point lumineux tout au fond. Là, on serait au milieu.

ENTRE OMBRE ET LUMIÈRE. Alors, avançons vers le jour qui gagne pour passer, pas à pas, vers de plus en plus de clarté, de chaleur, de bien- être. Les pensées semblent pour l’instant phagocytées par l’énergie ambiante, pas toujours bienveillante, pas toujours apaisante.

JE ME SENS DE PLUS EN PLUS TOUCHÉE. Happée par des initiatives et des solidarités de plus en plus nombreuses. Passée la peur et l’angoisse, il est tant de se reprendre pour pouvoir s’organiser pour soi-même, pour nos proches, pour aider, pour penser à tout ceux qui continuent et qui maintiennent le tissu social. Le tissu est une belle analogie pour ce que nous vivons en ce moment, ces fils qui s’entrecroisent pour former une trame de couleurs. Il ne tient qu’à nous que cette trame soit la plus belle et la plus chatoyante possible.

L’être humain est un être sociable. Les autres nous sont indispensables. Alors, nous commençons à inventer des choses pour ne pas casser le lien, pour inventer, pour s’informer, pour communiquer, pour aider. Tout est en nous, l’ombre tout comme la lumière, et c’est de cette lumière dont le monde a besoin. MAINTENANT.

LES GENS SONT FOUS, LES GENS C’EST NOUS.